PAPARAZZI ? BLOG CLARA SEPTEMBRE N°3

 La terre appartient-elle à ses premiers occupants ? Ce sera la réponse des baba-cools, des christ-gauche, des "altermondialistes vintage", comme du très saint "Guide du routard et des emmerdeurs". Pas la mienne : la terre de là-bas appartient aux sacs en plastique et aux papiers gras. Comme me le disait ma grand-mère (qui n'avait rien de communiste) la terre appartient à celui qui la travaille. Et alors, dans ce pays, Clara carrissima, elle ne devrait appartenir à personne ! Ou presque. Ou alors à la mémoire des Romains et des Phéniciens. Ils ne sont pas très nombreux à bosser sous ces latitudes, chère Clara. Mises à part les femmes, ce qui étonne leurs adversaires historiques, les hommes. Elles trustent les places à l'université et dans les entreprises. Le monde change, pas l'islam... C'est pour ça qu'on l'aime. 

La baie de Carthage, c'est tout un rêve (assez mal compris de ses habitants) : on imagine les voiliers, les trières, les flottes combattant. Scipion l'Africain... Cartago delenda est...

______oOo_____

Automne 21, Pierre Soulclos : n'aurions-nous pas trouvé, chère Clara, trouvé un moyen de COMMUNIQUER ?

______oOo_____

Et ensuite, chère Clara, qu'est ce qui fait qu'un livre est BEAU ? En voilà une question qui ne mobilise pas grand monde...

COULEURS CHAUDES, COULEURS FROIDES, VIOLETS, TUILES ROUGES, JAUNES PAILLE, CIELS BLEUS, TYPO RINGARDE, PROVENCE, PROVENCE, PROVENCE, PROVENCE, PRO... RURALITÉ, AUTOMNES, GIONO-BOSCO-PAGNOL, ETC ETC ETC : toujours les mêmes recettes et je suis censé acheter " local", de la production locale. SURTOUT PAS DES ÉTRANGERS. Et me faire refiler des nanards très chers et très ringards. Mondialisation, bénédiction !
 

______oOo______

INCROYABLE :

JE N'AI JAMAIS TOUCHÉ UN FER À REPASSER DE MA VIE, CLARA.

ET C'EST TROP TARD POUR COMMENCER

______oOo______

SOULCLOS nous déclare : " Qu'est-ce que je bosse ! Et pour du crémant Bourgogne ? "Ça pas question, fatche de con !" " (Renaud) 

Je participe à trop de TRUCS. L'autre jour, j'ai coupé mon ordi à 17h00.  Comme un fonctionnaire. Le domaine de mes divins ancêtres, la chasse et les battues au sanglier, la maison dite bastide, des apparts pourraves à refaire, la fibre et ses méandres, des verrous, mes tatas qui deviennent légumes... Mes confrères, leurs publications que je me "maquette", leurs "notices" du dictionnaire. J'envoie des mails, on m'appelle à 13h00 pour me demander des comptes quand je suis à table. Je ne réponds pas (on me critique, surtout quand je fais des coupes de bois. C'est toujours trop, je me suis fait avoir). 
...Et puis les relectures des amis. Ils ont tous compris le truc : Pierre Soulclos est un pro de l'édition, ce qui n'est pas tout à fait vrai, loin de là. Alors, je me tape relecture (50, + 250 pages ! HORRIBLEMENT CHIANT, et vlan ! 60 nullissimes pages qui se rajoutent pour "toi qui t'y connais") et maquette de TROIS ouvrages, dont deux ne présentent aucun intérêt. 
Tout ça pour la gloire ? Même pas, l'édition c'est un job de cons, de gamins, d'ados, d'infographistes : les codes typographie, l'orthographe, la qualité du papier, les sommaires et les bibliographies : des trucs à la con, du détail, du méticuleux, du pinaillage... Les photos, à la rigueur... Mais puéril (sauf quand j'ai arrêté les photos de mariage : grandes déception, Soulclos faisait économiser 1500 € et on lui offrait royalement une carte FNAC ou six bouteilles de crémant !). C'est vrai, j'ai le génie pour bosser pas cher, je sais pas dire non... 
Le problème, c'est notre sens de l'honneur : l'édition qui ne supporte pas la médiocrité, et la perfection, ça ne se voit pas. Sauf entre initiés... Tout le monde s'en, te dit "te fatigue pas..." ...Pas évident.
 

Et puis le blog Soulclos, mais ça, c'est rien que pour vous Clara...

______oOo______
 

La route de La Rochelle entre Issoudun et Poitiers :

Dieux que la Provence est belle en comparaison de cette France inutile ! 
La photo nulle, de l'endroit nul, de la route nul, des tags nuls.
 

______oOo______

Ma très-grand-tante Jenny a Chiavari, Italie.

C'était chez cette vieille cousine de ma grand-mère que ma tante venait refaire son accent italien chaque été. Les décors de son appartement auraient pu servir à Fellini ou à Ettore Scola. Meubles rococco, vases japonais et tableaux religieux garantis tout faux. Fernet branca. " Non beve vino ?" demandait ma très-grand-tante Jenny qui perdait un peu la boule. Jamais, ma TGT, jamais, je ne buvais que de l'eau, c'est dire si c'est vieux. Car j'étais parti découvrir Chiavari en avion en juillet 1968. 
L'ennui total, monstrueux ! Je n'osai pas parler italien. Chaque soir, avec ma tante, nous faisions de long en large la PASSEGIATA, le bord de mer (jetée et parasols) où se nouaient les intrigues. Jolies brunes et séducteurs éphémères, i bambini et i gelati. Hors de question de lever une petite Italienne au regard de braise et au mont de Vénus mythique et divin (Vénus...) supposé recouvert d'un bush humide, dense et soyeux. Mon oncle Pierre nous y rejoignit, survolté, dans sa déploable Volkswagen Passat marron. VAG... Comment sont-ils devenus numéro UN mondial et pas FIAT ? 
Et puis Jenny est morte et d'autres cousines perfides ont emporté tout l'héritage roccoco au grand scandale de Mère-grand... Fini l'accent italien si pur et si gênois, si commerçant de ma tante, on repartit pour Rome dans la VAG beige qui n'avait jamais le temps de refroidir... 2021 : la photo de Jenny est toujours sur le mur de la chambre de la maison de retraite de ma tante.

______oOo______

TUNISIE 2021 ? 

Je pars samedi en Tunisie, chère Clara, avec mes confrères ou ce qu'il en reste et j'espère vous revoir en ce bas-monde.
J'espère voir des ruines romaines. Colisée, Carthage... Je suis vacciné à mort, je n'irai pas à la plage, j'éviterai les souks et contrairement à Willy Ronis à mon âge (ou +), je ne photographierai aucune fille toute nue. Surtout si elle est mineure, comme çela s'est beaucoup fait (ça se vend toujours très bien : très élégant ! Les milieux autorisés chers à Coluche sont innocents quand il s'agit de l'art selon eux, c'est à dire rien).
Bon, j'emporte mon Canon N&B, on sait jamais... Elles sont pas mal, ces deux-là, mais bien mûres, bien  grassettes, chairs fermes, elles donnent envie...

______oOo______

Terrasse de La Tavernière, Puyricard

Un troquet médiocre qui faisait, dit-on, dans le bordel rustique la nuit. Les grandes familles sont médisantes, et aucune de nos racées femelles n'y était jamais allée. Dit-on... Entre hommes, nous nous y retrouvions pour toutes les messes de mariage, au bout de dix minutes. Bières. Ces messes, hein, quand on en a vu une, on les a toutes vues... Celles de mariage, bien sûr. Pour l'enterrement de ma tante, je me suis retrouvé tout seul. Significatif : mes cousins s'en foutaient où ils dormaient sur quelque banc trop dur (ma tante qui a passé ses dix dernières années à prier n'a même pas eu droit à une petite messe : je me suis cassé direct ; j'étais prêt à la lui accorder, pas ses enfants, qui n'ont en revanche pas renoncé à son pognon. Impressionnant). J'ai pris cette photo et une suze-glaçons, et j'ai refait le monde avec les taulier. Odeurs de gentiane. On a philosophé dur, citant les plus grandes. 

 Ainsi : «Je pense que toutes les femmes sont des sorcières, c’est à dire des êtres magiques.» (Yoko Ono)
 
______oOo______
 

La guirlande chinoise

P&A adorent ce "spectacle merveilleux" avant d'aller se coucher. Achetée sur Amazon, arrivée de Chine, elle a fini par péter, mais pas si vite que ça.
Pour la qualité, Amazon, ça va, mais la Chine, c'est pas encore ça.
______oOo______

L'Académie

Haut lieu torride qui se visite parfois en duos sentimentaux, dicrètement, comme ça, froufroutant, marchant dans l'obscurité interdite et le parfum des vieux livres oubliés. On aurait pu en profiter un peu, non, Clara ?

Car certains et certaines s'y retrouvent, dit-on pour célébrer leurs amours de jeunesse entre deux rayonnages mystérieux, dans la fraîcheur du soir ou dans la touffeur de ces après-midi où toute la ville endormie ("belle endormie") fait la sieste... Siestes tout en douceur et crapuleuses, quand on s'aime.
 
 
______oOo______

Hérodote, le journal des grands reporters

...et de votre nièce, chère Clara.

https://www.herodote.net/Un_monde_moins_violent_que_jamais-article-1193.php
 
______oOo______
 

Chère Clara, depuis Jean-Paul Belmondo s'en est allé. C'était un grand acteur, mais j'ai du mal à ne pas mettre tout en haut de son palmarès LE MAGNIFIQUE

J'étais allé voir ce film avec ma soeur et une amie quand j'étais en terminale à Manosque. J'avais mon permis de conduire ! Le rôle du MAGNIFIQUE me semble en fait très complexe, et doit être pris au sérieux. Je me suis toujours imaginé en grand écrivain assis derrière une machine à écrire, sur une mauvaise table, une mappemonde devant moi. Ça, je peux le faire. 

Mais porter un T-shirt un smoking en soie-chintz rose et mauve à jabot et dentelles, désolé, je m'incline et j'admire. Remplir ça aussi facilement qu'un T-shirt de l'OM, faut le faire, faut de la prestance. Pour de bon, chère Clara.

- Respect.

 

Et Jacqueline Bisset en ligne de mire. Un ami de cher Roland P. avait eu une aventure avec elle. Ratée : je ne m'en serai pas remis... Ça m'arrive parfois, de ne pas m'en remettre (Bisset est restée un canon). 

La France restera indécise : préfère-t-elle la gouaille de Belmondo à la froide beauté d'Alain Delon ? 

Bébel, bien sûr comme elle préférait Poulidor à Anquetil. Je ne pense pas comme la France. Delon n'est-il pas un samouraï, un solitaire de droite ? On les a souvent photographiés ensemble, mais dernièrement Belmondo n'arrivait plus à bouger, quand Delon pétait la santé et essayait d'en donner un peu à son vieil adversaire. Ses yeux de chat énorme restaient des phares. Oui, mais Belmondo sans la santé, qu'est-ce qui reste ? C'était ça, son truc : il assommait les caméras et les journalistes de santé. Top : leurs cravates.

 

Le 6/09, chère Clara, jackpot : on a donc passé un bébél sur chaque chaîne, sept ou huit à la fois. 

Pas si simple à gérer : je n'ai qu'une télé. J'aurais préféré qu'une chaîne passe un bébel chaque soir pendant huit jours, non ? un Magnifique, un Godard, un Broca, un WE à Zuydcote... Bon, mais au moins sur TF1 ce soir-là les infos c'était 100% Belmondo. J'adore cette dernière image. Je crois me voir, dans une autre vie.

______oOo______

TURIA, DAME ROMAINE, LE RETOUR

Chère Clara, voici le nouveau texte de ma "commnication", remanié suivant vos préconisations : on voit la femme, et c'est beaucoup mieux.

"...Je devrais dire : ELLE. Car bien que nous évoquions les Romains, ce personnage central, c'est une femme. Nous allons voir défiler de nombreux savants historiens dans cette communication, mais c'est notre inévitable ex-président Charles Giraud nous parle le mieux d'elle. Turia passionne le professeur de droit romain : c'est une vraie femme romaine, déterminée, vengeresse, une femme d'action qui gagne ses procès et fait condamner les assassins de ses parents. Elle est intrépide et loyale, effrontée et fidèle, réaliste et gestionnaire avisée. Elle poursuit en justice les assassins de ses parents et les fait condamner. Elle sauve la vie de son mari lors des « proscriptions de fin 43, pendant lesquelles le laudateur porté sur les listes fatales dut se cacher." 
"Turia n'hésite pas à s'humilier devant Lépide (sans succès) pour sauver ce mari dont la vie est en jeu. Elle gère les biens des époux en bonne mère de famille, elle conseille à son mari de divorcer car elle ne peut pas avoir d'enfants, ce que son mari refuse. Tant et si bien que ce mari n'hésitera jamais à tout partager avec elle, y compris l'autorité juridique et financière que la loi romaine lui confère. Du jamais vu ? Turia est une femme libérée. À Rome, sous Auguste : Giraud est séduit...."
 

Évidemment, que je vois la femme, et que je la préfère nue

Ci-dessous deux peintures qui nous rappellent certains moments magiques de notre vie antérieure et que nous ont léguées les excellents artistes de Pompéi. Vous aimiez bien faire l'amour dans la position de la jolie dame de gauche, et j'aimais bien vous déguster comme le monsieur de droite. "Ne t'arrête pas" aviez-vous gémi la première fois à mon grand émerveillement : vous êtiez clitoridienne. Les Romains la considéraient comme un rien dégradante pour un homme. Pas moi.
______oOo_____

J'adore les chiens. PhotoS Dennis Stock, Magnum 

Dennis Stock, photographe de plateau. Magnum is alive, and well. Par lui, Stock, on croise Grace Kelly, comme si c'était hier. Incroyable. On se remet en question. Bostonienne, on jurerait, mais née à Philadelphie, sur la côte Est. Un peu pareil. Ce n'était pas son premier photographe, mais là, elle en avait croisé un bon. Il avait tout compris. Une sorte de vocation à être une reine, c'est certain. Il l'a vu tout de suite, Dennis. 

- Dites-moi, matelot on dirait que ce type de femmes s'est perdu. Définitivement, corps et biens. Mais surtout le corps. Vous ne coyez pas ? Je veux dire : les féminines, dintinguées pour toujours, les carrément belles.

- C'est une bonne question mon ami, mais un question de terrien. Ce n'est pas la plus troublante.

- Vous pensez à quoi, Amiral ? 

- Au mariage. Au vrai mariage. Au mariage à deux idées, mon ami. Au MARIAGE devenu impossible d'une femme aussi distinguée avec un homme photographe aussi sensible. Fort. Élégant. Et drôle, j'en suis sûr. Ça n'existe plus, l'ami, vous arrivez trop tard. Ni la femme, ni le photographe. Ils appartienent à l'Histoire. Voilà tout.

______oOo______

Nous disions Romy, féminité ? Grace Kelly.

 

 

 

DENNIS STOCK, 1928-2010, c'est un GRAND. TRES, TRES GRAND photographe. Même s'il ne donne pas l'impression de se prendre au sérieux.

______oOo______

PETITS MATINS BLEUS, ET ROSES suite. 

J'ai passé cet été toute une série d'aubes et  de siestes et de jours trop courts sur l'eau tout nu. Escapade à Hyères : je tentais de remonter l'ancre par trente noeuds de vent, soit force 6 : le bateau a pris une gifle monumentale, piqué du nez, tapé fort et m'a balancé, jeté contre les filières. Elles étaient plus hautes que celles du Pen Duick d'Eric Tabarly mais pas très confortables. Je ne suis pas passé par dessus bord, moi, pour ne noyer dans la nuit. Mais c'est clair, tout ça c'est plus de mon âge. Je ne vous emmenerai pas, Clara, mourir de mal de mer sur mon voilier de rêve et d'ailleurs vous n'aimez pas ça. 

Bref, un bleu terrible sur l'épaule droite pendant des semaines, à peu près le même sur la cuisse et un testicule tribord tout violet. Le gland intact. L'infirmière du bord m'a immortalisé avec son téléphone sans prendre le temps de se rhabiller.

______oOo______

SAMUEL BECKETT shooté par un paparazzi en plein Paris

Pas sûr qu'il ait aimé ça ? Je ne sais plus trop. Ce type est un mystère, moins par ce qu'il a écrit que parce qu'il a eu un public.

______oOo______

Phiphi aux Baïsses, chez Luc M., un soir de beuverie ordinaire 

Tout le monde s'est moqué de moi quand j'ai pris cette photo mythique. Cf. paprazzi. L'homme Fifi est à présent rangé des voitures (de préférence, des Alpine Renault ou autres Dodge Viper de 600 ch) et Luc M. a six enfants. 

Il fut le premier d'entre nous à être père, il y a cinquante ans, il en avait vingt. 2021 : pour nous tous, finie la déglingue.

À bientôt, inch Allah !

______oOo______

SCOOP 

Mon neveu rentre de Haute-Volta avec une femme pure produite locale. Une si typique que parole je savais pas que ça existait encore.  Ils seraient "mariés", of course.
Je l'avais prévu, chère Clara et j'avais prévu qu'elle serait enceinte. Pas de six mois, mais bon, ça ne change rien à l'affaire. Parents pas avertis, zéro pognon, même pas d'heure d'arrivée. Mon beauf seul pour se prendre le choc du siècle. En une année, mon neveu N. n'a pas fait une once de progrès, au contraire, un gros recul, sans nul doute. L'Afrique... Il était parti, écoeuré par "la fin des libertés" (sauf celle de transmettre le corona) en France, mais touchant le chômage. Ça situe le niveau.
Elle, elle est là, dans le salon de St J. face au portraits d'ancêtres. Elle ne dit rien, elle sourit bêtement, elle bave. Elle ne comprend rien. Elle a 23 ans, lui 37. Ma mère, souriante. Ils lui ont apporté un petit chapeau très joli, coloré... En vérité, j'aurais vraiement aimé une Black, mais plutôt façon Michelle Obama ou Tina Turner et j'hérite d'une Noire tout droit sortie de Tintin au Congo. Semble parler français... Habitait Ouagadougou. Ses parents ne voulaient pas qu'elle parte. La pauvre est déjà gelée, elle a son polichinelle sous le tablier et rien ne se passe comme elle l'a imaginé. Que va devenir ce rejeton ? Cette petite fille ? 
En principe, si c'est comme d'hab', on va me la refiler ? Pourquoi pas ? Comme le reste ? 
 

Les parents n'osant même pas parler de ce retour...  

Vous savez même, chère Clara, que je ferai tout ce que je pourrai pour elle, mais je suis pas optimiste; vu le pédigree... Ma soeur dépressive depuis vingt ans.
 
- Il faut que je me détende, je retourne à mes images de Sappho, excusez-moi, Clara, car voyez-vous, j'ai besoin de penser à autre chose. Au cul, par exemple, ça calme. 
 

A votre retour ? Si dieux et vents le permettent.

_____oOo_____